vendredi 18 octobre 2013

Courant gnostique un peu particulier

J'ai toujours su et cru que le salut de mon âme passait par une connaissance révélée de la Mécanique prise en tant qu'entité supérieure, objet d'un culte souverain ayant toutes les caractéristiques constitutives d'une grande religion. Parmi celles-ci les théologiens de tout bords reconnaissent qu'il est nécessaire d'avoir des fondements écrits, des textes que tous les fidèles vont dès lors considérer comme sacrés, c'est à dire indubitablement inspirés par la divinité et écrits par ses disciples les plus importants. 
Aussi n'ai-je eu de cesse que de rechercher cette révélation, de trouver le verbe divin, de mettre la main sur ces rares livres sacrés de la mécanique.
(Cliquez sur l'image et par un vrai miracle votre écran d'ordi va littéralement se transformer en une chasse moyenâgeuse merveilleuse, en une arche de connaissance, offrant à vos yeux ébahis le trésor le plus incommensurable dont chaque mot, chaque lettre, chaque signe est d'origine forcément divine et que s'il venait à en manquer un seul, le monde s'écroulerait.)


Comme pour les autres grandes religions, la Mécanique s'est aussi très tôt caractérisée par un foisonnement des interprétations, une floraison des doctrines et des normes favorisée par la "Babelisation" du monde. Il fut donc nécessaire de retrouver le verbe originel, de déterminer des règles de passage, de cohérence entre ces différentes visions, de les enfermer dans un tout petit corpus de livres supérieurs au caractère dès lors sacré. A l'instar de ce que firent l’évêque Irénée de Lyon pour les évangiles, le calife Abu Bakr pour le Coran, ce fut la tâche lourde, dense et la glorieuse contribution au monde des très vénérables Saints Hispano, Suiza, Rolls et Royce.
Grâce leur soit rendue !

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