mardi 31 janvier 2012

Et Lafontaine ... itou !

Après quelques messages un rien austères même si particulièrement riches en informations mécanico-métalliques rares, je vous propose, cher lecteur, une sorte d'interlude didactique. Je vous suggère de vous pencher (le mot est choisi) sur une intéressante question quasi métaphysique :
"Comment l'esprit vient aux filles"
Question qui, j'en suis sur, n'a pas manqué de s'imposer à votre esprit MEC en bien des occasions, notamment comme dans celle-ci lorsque jeune étudiant, vous découvriez avec un "attendrissement touchant"  comment votre copine révisait ses cours :
Parmi les milliers de réponses à cette passionnante question, j'avoue avoir toujours adoré et privilégié, même si je reconnais qu'elle n'est pas complètement crédible,  la version de Lafontaine dans sa fable éponyme (en fait un conte grivois de l'illustre fabuliste qui n'en était pas moins prolifique dans ce genre "mineur", injustement délaissé par l'éducation nationale malgré une beauté formelle identique à celle de ses fables morales, donc incomparable).

A l'occasion vous m'en direz des nouvelles et je reste preneur de tous vos avis et de toutes vos lumières sur cette question.


2 commentaires:

  1. tout ceci s'explique de manière scientifique!
    cette jolie blonde, "forcément" défavorisée sur le plan cognitif, est obligée de travailler la tête en bas pour favoriser l'afflux sanguin vers le cerveau afin de limiter les risques de perte de connaissance, (dans tous les sens du terme). J'ai moi même expérimenté tous les bienfaits du "syndrome de la chauve-souris", bien que dans de toutes autres circonstances (moto, accident, clavicule, SAMU, brancard, chute du taux d'adrénaline, baisse de tension...) Au passage, merci au brancardier -très réactif- qui m'a fait découvrir ce particularisme physiologique.

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  2. Explication simple, évidente, en conséquence ; géniale !

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Je t'encourage cher et courageux lecteur à nous laisser un commentaire qui sera forcément lumineux, apocalyptique et boulversant.