Je trouve ce compte tours réellement fascinant, à la fois tellement proche et tellement différent de la norme universelle. A vrai dire, avant de le découvrir, je n'avais jamais imaginé qu'il ait pu exister un autre référentiel que les tours minutes en milliers.
Monté sur la Yamaha compé-client TD1 A de 1963/4, il aurait du indiquer aux ingénieurs occidentaux qui ne voyaient alors dans les japonais que des copieurs serviles, qu'ils avaient non seulement techniquement dépassé ce stade, mais développaient de vraies recherches d'originalité et avaient en tête l'idée d'imposer de nouveaux référentiels. Bref, qu'au lieu d'en rire, il fallait commencer à s'inquiéter.
Cependant cette idée là (et c'est peut être la seule) n'a pas résisté au temps et surtout à la pratique. J'imagine bien qu'après avoir expliqué "qu'elle n' a rien dans le sac avant C 3/4, ratatouille entre E 1/4 et E 1/2 mais est une balle passé F pour s'écrouler un peu avant F 3/4", les premiers pilotes d'usine occidentaux testeur du machin, ont vite suggéré et obtenu d'ingénieurs certes inventifs mais aussi pragmatiques, de revenir aux bons vieux rpm.
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