Ainsi que vous le savez au plus profond de vous même mais que vous n'admettrez sans doute jamais en présence de votre règulière, Mobylettes et babes participent pleinement de l'équation subtile, de l'alchimie délicate, constitutrices de l'univers imaginaire ou réel de tout bon Mec.
Suffit-il pour autant d'associer n'importe lesquels des deux de n'importe quelle façon pour obtenir quelque chose de plus fort que ce que chacune peut apporter. Pas évident ! Voici un exemple pour moi remarquablement démonstratif, d'une combinaison de deux éléments individuellement top mais qui associés de la sorte m'émeuvent moins que ce que chacun pourrait faire séparèment :
Trop directe sans doute, une telle image pour sympathique qu'elle soit n'a pas pour moi la puissance émotionnelle de celle-ci :
Vous aurez bien sûr reconnue l'hallucinante et hautement fantasmatique blonde du non moins hallucinant film "Zabriski point" (grossière erreur, voir commentaire du Doc) ou "Point limite zéro" (cependant, ça, c'est bon).
NDLR ; Que cette image soit célèbrissime et incrustée à vie dans l'inconscient de l'internationale motarde, devrait nous conduire à nous interroger d'une part sur le paradoxe de son succès dans une communauté qui se distingue par son hyperprotection vestimentaire et d'autre part sur l'intéret douteux qu'à la presse moto à nous assèner à longueur de semaine l'essai du blouson machin en cuir de zouzou ou en gore-beurk. Sans vouloir paraitre exagèrément "Strausskhanien", je trouverai bien plus intéressante une description régulière, agémentée de photos, voire l'essai, d'un cuir de demoiselle.
Cela peut paraitre choquant ! Ce sera pour moi toujours moins obscène que le mercantilisme abject de 99% des articles de la presse spécialisée.
Horreur , malheur, déréliction!!! Pour la première fois, sans doute submergé par l"émotion, notre très précieux blogueur s'est emmêlé les crayons. Vanishing point, de richard Sarafian n'a pas grand chose à voir avec Zabriskie Point de Michelangelo Antonioni. La motarde quelque peu dévêtue du film de Sarafian fut le seul rôle de la merveilleuse Gilda Texter dont la nudité fut l'emblême de toute une génération d'obsédés. Il est notable qu'elle se rhabilla par la suite et habilla les autres puisqu'elle devintl'une des plus célèbres costumières d'Holywood. Paradoxe gouteux. La sublimissime hippie qui hante elle Zabriskie Point et nos rêves d'ex soixante huitards cinéphiles et folkeux était Daria Halprin et le véhicule principal de ce film révolutionnaire et génial était un Cessna volé puis repeint psychédéliquement par Mark Fréchette, partenaire de la transcendante Daria. Il fallait que cela fut dit.
RépondreSupprimerTout a fait d'accord à un détail près !!! Hollywood s'écrit avec 2 l…
RépondreSupprimerCiel je suis démasqué ! Arrogant au point de négliger de vérifier ses sources ou alzheimerdé au point de confondre deux références ? Je vous laisse seul juge. Quoiqu'il en soit, il ne me reste qu'a me retirer, pisseux, dans une sorte de Limoges improbable et quelconque. Trop miséricordieux me direz vous, eu égard à la gravité de la faute (le mot n'est pas trop fort)! dans ces conditions il ne me reste plus guère que le seppuku à l'opinel rouillé (mon indécrottable coté franchouillard). Donc si les publications s'interrompent, vous saurez pourquoi. Adieu donc intransigeants lecteurs ô combien aimés !!!!
RépondreSupprimerHervé, ne nous abandonne pas. Certaines images réveillent notre verdeur et peuvent induire une légère altération de la sphère cognitive, étonnés que nous sommes par la surrection de ce phénomène devenu rare à nos âges. Ces errements bien compréhensibles ont généré chez toi une confusion cinéphile et chez moi une faute de frappe que John a eu la cruauté pré sénile de confondre avec une faute d'orthographe. Quoiqu'il en soit, Daria et Gilda for ever!
RépondreSupprimerpas bô de vieillir… but the show must go on!
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