Le dessinateur Cabu assassiné en même temps que la rédaction de CHARLIE HEBDO, avait une vision satirique, exagérée et surtout pas tendre, des motards :
Comme disait l'autre ; "On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui". C'est vrai que ce dessin précis ne m'avait pas fait rire, contrairement à tant d'autres sur d'autres sujets de l'immortelle, internationale et incommensurable connerie humaine.
Pour autant, cette atteinte blasphématoire à ma religion personnelle et aux luttes sacrés de la fraternité motarde valait-elle que je m'érige en justicier masqué ? Que je me précipite dans les locaux obligeamment mentionnés pour aller tirer les oreilles du père du grand Duduche, éternel adolescent et pourtant mon ainé ? Bien sûr que non !
Aussi aujourd'hui et pour un moment encore, comme tant :
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